Prise RCA en bakelite noire (101360)

Insert central en bakélite noire avec deux connexions RCA (Cinch) rouge et blanche avec contacts dorés

Informations techniques :

• 250V AC
• Norme CE et VDE (équivalent NF allemand)
• Diamètre  : 7 cm
• Enjoliveur central en bakélite
• Fournie avec des griffes
• Compatibles avec les boites d'encastrement standard profondeur 40mm
• Ce produit est vendu sans plaque de finition, les différentes plaques compatibles sont visibles dans l'onglet produits conseillés, en bas de page.

Conseils de montage :

• Pour réaliser des appareillages doubles, triples ou plus avec des plaques de finition rondes, il faudra soit utiliser plusieurs boites simples placées cote à cote avec un entraxe de 71mm, Soit utiliser les boites d'encastrement de chez eur'ohm réf EU52029 et EU52031. Les boites d'encastrements doubles, triples et quadruples standards du marché ne conviennent pas forcément car elles sont généralement de forme rectangulaire et laissent alors un trou visible au niveau de la jonction des plaques de finitions rondes.
• Si vous souhaitez poser vos appareillages doubles, triples et quadruples avec des plaques de finition rectangulaires, vous pouvez utilisez des boites d'encastrements standards. Le problème ne se pose pas car les boites d'encastrement seront entièrement recouvertes par les plaques de finition.
• N'hésitez pas à nous contacter si vous avez besoin d'aide pour finaliser votre commande, nous sommes là pour ça.

Le mot du fabricant :

Nos gammes d’interrupteurs en porcelaine et bakélite ont été développées par THPG en propre. Nous les faisons fabriquer en Thuringe (caches et corps centraux en porcelaine), en Westphalie  (caches, inserts centraux en bakélite et mécanismes  de commutation) et en Bavière (caches en verre). 

Même les professionnels sont impressionnés par nos produits et  matériaux. A l’occasion de salons, nous voyons régulièrement des  architectes sceptiques, qui les tâtent, tapotent et les prennent en main  pour s’assurer qu’il s’agit de « vrais » produits. Evidemment, c’est  du vrai, même plutôt deux fois qu’une avec des épaisseurs de  matériaux de 2,5 mm (caches en bakélite), 4 mm (caches en verre)  jusqu’à 13 mm (caches en porcelaine).  Et l’intérieur n’a pas à se cacher non plus: le corps de nos interrupteurs rotatifs, va-et-vient et à bascule et le bouton aussi sont en céramique.

A souligner aussi : nos interrupteurs rotatifs sont de vrais commutateurs rotatifs où les contacts sont fermés ou ouverts par le mouvement de rotation. De nos jours, cela ne va pas de  soi et certains interrupteurs rotatifs cachent en fait un interrupteur  à bascule dont la bascule est actionné par une manette tournant.  La différence est non seulement perceptible mais aussi audible !

En dehors des applications civiles, nos interrupteurs rotatifs n’ont survécu –  avant que nous les réintroduisions – que dans des domaines où il  faut une fiabilité absolue : dans la construction navale et dans l’industrie.

Nous faisons fabriquer les mécanismes de nos commutateurs par  l’entreprise CAW (Casp. Arn. Winkhaus) à Halver proche de Lüden - scheid en Allemagne. Nous avons développé nos gammes de   produits en étroite collaboration avec cette société qui fabrique  du matériel électrotechnique depuis 1910. Le mécanisme de rupture brusque du commutateur, composé de 42 composants, est le  résultat d’un travail mécanique de précision: indépendamment de  la vitesse du mouvement de rotation, un contact régulier de rupture brusque est garanti, confirmé par un clac nettement audible –  qui ne rassure pas seulement sur le plan acoustique, mais prolonge  aussi la vie du matériel. En effet, le mécanisme évite ainsi l’effet  d’arc électrique qui menace aussi lors de branchements en courant  alterné et endommagent les contacts de commutation à la longue.  Pour garantir en plus une commutation en sécurité, le mécanisme  de rupture est galvanisé.

Tous nos produits portent naturellement le label de qualité VDE dans la mesure où l’attribution de ce label  est possible

C'est quoi la bakélite?

Comme ses prédécesseurs organiques (celluloïd, galalithe), il s'agissait au départ d'un pur substitut aux matières premières ambre et gomme-laque, devenues rares et coûteuses au début de la production de masse.

Dans la première moitié du XXe siècle, le terme bakélite était devenu synonyme de plastique et depuis l'émergence de ses descendants thermoplastiques, ce mot à été utilisé pour distinguer les anciens et lourds thermodurcissables (mélamines, résines phénoliques). Bakélite, n’est cependant pas un nom générique, mais un nom de marque, déposé par la société Bakelite AG à Iserlohn

Plus dur et cassant que du plastique, la bakélite à l'avantage de mieux résister aux contraintes mécaniques, de supporter des températures allant jusqu'à 300° et surtout de ne pas jaunir au fil des années